Se faire plaisir créé des endorphines


Une psychanaliste française à l'origine de la psychogénéalogie, Anne Ancelin Schützenberger, vient de publier son dernier livre à plus de 90 ans, au sujet des bienfaits sur la santé de tous ces petits instants de bonheur que l'on s'accorde dans la journée.

Dans son dernier livre, "Le plaisir de vivre", Payot, mai 2009, elle relate que lorsqu'on apprend à se faire plaisir, cela change le métabolisme du corps, car celui-ci fabrique plus d'endorphines. Et en améliorant ce métabolisme, on peut guérir de maladies très graves. Elle cite l'exemple rare mais réel de personnes souffrant de cancers, au chevet desquelles elle avait été appelée, et qui ont totalement guéri.
La joie est au centre de la Méditation Sahaja Yoga, car c'est à travers ce sentiment que l'on peut rester au présent et oublier le stress et angoisses qui nous tiennent.
La sécrétion d'endorphines est une des conséquences cette Méditation de Sahaja Yoga : quand le mental est en silence, il se dégage un sentiment de paix et un bien-être corporel, et le système nerveux autonome sécrète les endorphines.

Selon la psychogénéalogie, les troubles psychiques sont aussi la conséquence de notre "absortion" de troubles venant de nos parents et ascendants. Françoise Dolto avait déjà il y a 60 ans, indiqué cette faculté de l'enfant à pouvoir prendre sur lui les maux qui sont ceux des personnes de sa famille et de les faire sien.
Ce passage d'une souffrance allant d'une personne à son descendant est une des choses que la Méditation Sahaja Yoga nous permet de ressentir vibratoirement. Shri Mataji a développé dans ce Yoga des techniques de nettoyage de ces sentiments de blessures, qui prennent place dans notre corps, sous forme de traumatismes physiques ou psychiques.

publié par stop au stress

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